Comme la récolte de courgettes est toujours abondante, sauf cette année, il faut varier les présentations pour ne pas s'en lasser.

Voici aussi une manière de faire manger des légumes à ceux qui ne les apprécient pas particulièrement.

C'est notre copine Paulette qui nous avait fait découvrir la soupe froide lors d'une Biennale.

Depuis, j'ai fait plusieurs variantes.

En voici 3.

La verte, vache qui rit :

-Cuire une courgette dans de l'eau ou la vapeur, avec un oignon et un morceau d'ail.

-Retirer un peu d'eau, ajouter 4 portions de fromage fondu, du poivre et un demi cube de bouillon de légumes bio.

-Mixer

Pas nécessaire de resaler.

La jaune, coco, curry :

-Cuire une courgette dans de l'eau ou la vapeur, avec un oignon et un morceau d'ail.

-Retirer un peu d'eau, ajouter des épices selon goût, cumin, carvi, gingembre, piment, cannelle, fenugrec, curcuma...., un demi cube de bouillon de légumes bio, un demi verre de lait de coco et poivre.

-Mixer

La rouge, tomate, un soupçon de poivron, basilic :

-Cuire une courgette, quelques tomates et un demi poivron dans un peu d'eau ou la vapeur, avec un oignon et 3 morceaux d'ail.

-Retirer un peu d'eau, ajouter le basilic, un peu d'huile d'olive, sel, poivre.

-Mixer

Elles se dégustent avec des croutons revenus dans un peu d'huile d'olive.

Elles peuvent aussi se manger chaudes.

Les deux dernières sont végétariennes et végans.

Pratiques, elles peuvent être préparées à l'avance, dans des bouteilles fermées à chaud elles se gardent quelques jours au réfrigérateur.

Déjà avant l'ouverture Lisette et moi avons pris grand plaisir à installer l'exposition.

De la découverte des œuvres à leur mise en place....

Jeudi soir, le vernissage a été un moment chaleureux, au propre et au figuré, l'été continue !

Plus de 40 personnes sont venus admirer les 40 créations, découvrir l'histoire de cette aventure textile et humaine.

Et acheter des carrés, boutons, yeux...

Beaucoup d'animation pour chercher les initiales des personnes aimées !

Le J de Jeanne, le Z de Zoé, M de Madeleine, le B de Balthazar ...

photo C.Crouzel

Nous avions opté pour un buffet inspiré d’Afghanistan, pas d'alcool mais des thés verts et noirs parfumés, pas de cacahouètes mais des pois chiches grillés aux épices, pas de chips mais des fruits secs et des légumes sous forme de soupes froides de courgettes.

Ainsi que du gâteau rot, subtilement parfumé à la cardamome.

Les petites jujubes du Périgord, originaires de Chine ont été fort appréciées.

Le jujubier m'avait été offert par une copine habitant en Corse, il y a une quinzaine d'année.

Il a fait de nombreux rejetons qui iront épanouir dans d'autres jardins de Saint Cyprien cet automne.

Toutes les recettes seront données dans un nouvel article.

Hier, nous nous sommes retrouvés pour réaliser oiseaux et bijoux.

Lieu d'échange vivant avec la visite des copines du nord et de l’ouest de la Dordogne.

Rendez vous samedi prochain de 14 à 16h pour une nouvelle séance.

Ce sera le dernier jour de l'exposition, fermeture à 16h.

De retour de Sainte Marie où nous avons passé quatre jours.

Pour prendre le temps de voir tout tranquillement, discuter avec les artistes, les copines rencontrées et les autres, il faut bien 4 jours.

Nous avons pris beaucoup de plaisir à voir les vêtements réalisés par Marty Ornish, artiste américaine.

Elle réussit à donner de l'élégance à des vêtements faits avec de vieux quilts complétement en loques mais qui sont pour elle de vrais trésors.

J'adore.

La veille, Marty avait été interpellée par ma jupe lors de la dégustation de vin au camping (il faut bien rentabiliser un si long voyage !), c'est à partir de cela que la discussion s'est engagée.
 

Une femme pétillante et enthousiaste, toute à fait charmante.

Nous devons faire appel à notre mémoire profonde pour retrouver nos bases d'anglais mais avec l'aide d'autres visiteurs, nous arrivons à nous comprendre.

Chaque vêtement a une histoire, comme celle de la tenue en crazy, patchwork découvert dans une poubelle par des amis de Marty qui l'ont de suite appelé pour lui dire qu'il y avait une urgence !

Les photos exposées sont de Sharon Avraham, originaire d’Israël, qui mettent bien en valeur le travail de Marty Ornish.

Cela va me motiver pour faire quelques choses avec les trois caracos 1900, achetés au Musée de la Mode à Albi.

Je ne voyais pas comment les exploiter mais je pense que les idées vont surgirent quand je vais les ressortir de l'armoire !